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Sebastien

Hubmaster
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Tout ce qui a été posté par Sebastien

  1. Ma proposition de critères "éthiques" : est contraire à l'éthique ce qui nuit à autrui. Dans le monde du référencement, il y a 3 parties en relation : le site, le moteur, l'utilisateur. Une action va être plus ou moins éthique (ce n'est pas binaire) selon les personnes à qui elle porte préjudice. Dans le cas BMW par ex, qui est lésé ? L'utilisateur ? Pas énormément en terme de pertinence par rapport à sa recherche, puisque le site était optimisé sur des requêtes tournant autour de BMW. Par contre les pages sat altèrent un peu son experience puisque il ne tombait pas directement sur le contenu. Le moteur ? On ne peut pas dire que le fait que le site BMW soit visible sur des requêtes tournant autour de sa marque altère sa pertinence, même si les pages sat comportent un potentiel évident de manipulation. Je crois qu'il faut donc regarder l'intention et le préjudice réel, pas la technique. Le client ? Le site était à priori visible. Seulement l'utilisation de pages sat peut altérer légèrement l'experience uilisateur (qui est son client potentiel), et devient de plus en plus risquée. Se pose la question de peser risques et bénéfices. Ma position est donc que les pages sat posent en effet des problème dits "éthiques", puisque elles incluent un risque non nul pour le client, et une altération même légère de l'experience utilisateur. Si elles sont pertinentes, elle n'occasionnent pas de réel dommage au moteur. Dans le cas d'un scraping site (techniquement google compliant) maintenant, qui est lésé ? L'utilisateur ? Oui, car il est confronté à du contenu peu pertinent, optimisé non pour l'information, mais pour l'affichage de publicité. Le moteur ? Oui, car des pages sans valeur informationnelle sont générées massivement, avec des schemas de liens souvent artificiels, qui sont autant de bruit dans la masse d'information que doit gérer le moteur. Le spammeur ? Pour lui c'est tout benef... Quelle est donc la démarche la moins éthique ? Quand au référencement éthique, il bénéficie bien sur à toutes les parties (utilisateur, moteur, client). Le référencement éthique est donc la voie à suivre.
  2. Oui mais on est là dans la présentation et pas dans la sémantique... non ? Par ex l'italique peut tout aussi bien servir à un chapeau ou un titre (emphase), qu'à une citation. Le sens suggéré par la mise en forme (je sais la formule peut choquer) diffère dans ces 2 cas.
  3. Curiosité purement intellectuelle à la limite de la recherche fondamentale sait-on pourquoi le W3C a défini 2 niveaux d'emphase ? Pourquoi pas une unique emphase ? Qu'est-ce qui devrait distinguer une emphase normale (em) d'une emphase fort (strong) ? Le rendu est-il différent dans les navigateurs non graphiques ? Si l'on utilise qu'un seul niveau d'emphase, doit-on utiliser le plus élevé (strong) ou bien em ? (Je suis partisan du strong en bon référenceur)
  4. Il y en a pas mal... Dewplayer : http://www.alsacreations.fr/mp3-dewplayer.html Radio.blog : http://www.radioblogclub.com/
  5. Il ne faut pas raisonner en mode binaire, je ne légitime en rien l'usage de ces techniques, elles sont juste un compromis, un compromis foireux certes, mais un compromis. M'as tu déja vu sur le Hub ou sur mon Blog encourager à l'usage de techniques de triche ? Le problème du référenceur pro qui bosse en agence, c'est que le client veut du résultat puisque il paie. S'il est prêt à payer pour ce résultat il n'est pas forcement pret à remettre son site en cause, pour des raisons de fierté, de budget, de bourrage de crânes par de soit disants pros de la communication... Le référenceur doit donc composer, d'ou l'usage de techniques borderline quand il n'est pas possible de convaincre le client de faire un site structruellement accessible et riche en contenu. Crois moi je dois me battre tous les jours pour convaincre de l'importance du contenu et de l'acessibilité. Alors arretez de tirer sur les référenceurs, nombre de problèmes trouvent leur origine plutôt dans les choix de conception des sites... Heureusement ça change doucement, les clients commencent à comprendre, et je me rejouis de ce mouvement vers le référencement "éthique" (bien que je deteste ce mot concernant le ref).
  6. Sur la controverse "avoid" : avoid veut dire "éviter" ce n'est donc pas une interdiction au sens "legal". D'autre part cette directive est dans les guidelines, pas dans le TOS. Clairement, Google affiche une opinion, une prise de position, pas une obligation contractuelle et encore moins une "vérité". Cela n'enlève rien au fait que les pages sat ne sont pas recommandables en général, et que leur utilisation devrait se faire en dernier recours, et en toute connaissance de cause (et de conséquences).
  7. Le PR passé n'existe plus, le futur PR n'est pas encore advenu... Quand au PR présent il n'est pas fiable Ah notre PR qui êtes au cieux
  8. Il n'y a pas vraiment quelque chose de technique là dedans, il s'agit apparament simplement de contenu si ces pages sont intégrées au site, même si elles sont spécialement optimisées à destination des moteurs
  9. Tout à fait, il ne s'agit pas de legitimer l'usage de ces techniques dont la seule justification est l'impossibilité de travailler sur la structure et le contenu. Ces techniques marchent, vont encore marcher, même si elles ne sont pas à conseiller, et leur usage devrait se faire en toute connaissance de cause. Après c'est une question de gestion du risque.
  10. Je serais plus nuancé. Ca fait longtemps qu'on crie à la fin des pages sat. Le fait est qu'elles fonctionnent encore très bien. Et je crois même que ça fonctionnera encore quelques années. Plutôt que de dire "les pages sat sont mortes", je dirais plutôt "tuons les pages sat !" qui ne sont que des béquilles techniques pour positionner des sites conçus en dépit du bon sens. Mais pour cela, il faut donner aux référenceurs les moyens : trop de clients exigent du résultat sans vouloir modifier leur site. On ne peut avoir le beurre, l'argent du beurre, et les faveurs de la cremière
  11. Je déconseille personnellement tout ce qui est automatique. Si le site est véritablement communautaire, c'est une piste à exploiter, chaque membre a un interet à promouvoir la communauté. Voir aussi du coté des blogs érotiques, qui pourraient générer un "buzz" autour de votre service si celui-ci apporte quelque chose de novateur. Sinon il n'y a pas de réel secret, il faut passer du temps à optimiser la structure du site, son contenu (même graphique), et à le promouvoir.
  12. Si on a qu'une centaine d'euros à consacrer au référencement d'un site de charme (J'imagine qu'il s'agit d'un site commercial), je pense qu'il faut changer de secteur... Le référencement dans ces domaines ultra-concurrentiels demande des efforts considérables, du temps et de l'expertise, et donc de l'argent...
  13. http://www.juriscom.net/pro/1/priv19990810.htm Voir aussi : http://www.arobase.org/loi/entreprise.htm http://www.atelier.fr/article.php?artid=29807&catid=21 Et un dossier de la CNIL sur la cybersurveillance des salariés : http://www.cnil.fr/fileadmin/documents/app...urveillance.pdf
  14. Il me semble que tout dispositif de surveillance des salarié doit leur être signalé, sans quoi la preuve ne serait pas recevable lors d'une action. Je n'ai cependant pas de référence précise. Bref autant jouer la transparence, c'est mieux pour tout le monde.
  15. Il y a 2 écoles à ce sujets, déja abordé plusieurs fois sur le forum (cf recherche). La différence est surtout théorique, dans la pratique ça ne change pas grand chose à l'accessibilité : -Les uns pensent que <h1> étant hiérarchiquement le plus haut niveau de titre, son usage devrait être unique au sein d'une page. -Les autres pensent que le plus haut niveau de titre est <title>, il n'y a donc pas de raison d'utiliser un unique <h1>.
  16. Pensez à récupérer l'oeil que vous avez jeté quand même, ça facilite la visualisation des vidéos Ah oui et bienvenue !
  17. Oui effectivement, seulement il ne basent pas leur principale argumentation la dessus (Ce qui est raisonnable amha).
  18. L'annuaire Yahoo france n'est plus maintenu, Google utilise DMOZ et Voila hein bon ca vaut pas trop le cout. Pour une PME, Indexa vaut plus le cout que Voila amha. Sinon il faut aussi savoir que Yahoo = Yahoo + Altavista + Nomade + Hotbot
  19. Au moins ils jouent pas les messies comme Google Par contre je doute du social search pour les masses, c'est pénible de tagger, déjà qui classe correctement ses favoris ? Une phrase qui me "choque" un peu par contre c'est : Les résultats doivent-ils représenter l'opinion publique ? Ou une certaine neutralité documentaire ? Exemple fictif : imaginons une opinion publique fascisante et raciste. Le moteur devrait-il favoriser les contenus eugenistes quand on fait une recherche sur l'évolution ?
  20. -Un gros index n'est pas un handicap quand le moteur parvient à mettre en tête de résultats les sites les plus pertinents. -Un gros index est un avantage pour les recherches spécifiques, ou le nombre de documents est plus limité. Donc je continue de penser qu'une grosse base est un avantage, puisque elle ne réduit pas la pertinence pour les recherches communes et augmente cette pertinence pour les recherches plus spécifiques.
  21. Ah oui et si l'info que je cherche est justement dans la partie du web que le moteur n'indexe pas ? Il est important pour la qualité des résultats d'avoir un gros index, même si cela ne fait pas tout.
  22. Probablement du phishing, pour le savoir regarde les urls de la prétendue page de reactivation de ton accompte. Je suis sur à 99.99999% qu'il ne s'agit pas d'un domaine amazon...
  23. C'est surtout dans le fait que le reportage oppose frontalement Google et Exalead que je voyais de la prétention. Exalead ne tient pas de discours du type "on va défier Google", ils constatent juste la prédominance americano-googlienne et souhaitent proposer un moteur différent. Le search est en perpetuelle évolution et "il y a de la place pour de nouveaux entrants" comme le dit son président.
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