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Cariboo

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Tout ce qui a été posté par Cariboo

  1. Tu peux effectivement saisir la CNIL... Mais la CNIL manque de moyens (ils ne sont pas très nombreux) et ce n'est pas un service de police : ils ne disposent pas de droits particuliers d'investigation ni la possibilité d'infliger eux mêmes des sanctions judiciaires... Donc il ne faut pas être pressés et ne pas s'attendre à des miracles... Le mieux pour l'instant est de te renseigner sur tes droits sur le site de la CNIL et de leur renvoyer une LRAR circonstanciée demandant de faire jouer ton droit d'accès et de rectification, en les menaçant de saisir la CNIL s'ils ne s'exécutent pas dans les quinze jours... NB : ils ont le droit de conserver tes coordonnées dans leur système comptable. Par contre ils ne peuvent pas "exploiter" ces données pour faire autre chose qu'imprimer tes factures... Mais la protection des données personnelles a ses limites.
  2. Quand on appelle un article SPIP, SPIP utilise dans l'ordre : - s'il en existe un, le squelette créé pour une rubrique donnée : article-63.html - s'il en existe un, le squelette "article" par défaut : article.html - s'il n'y a pas de squelette article.html, il utilise article-dist.html Donc, pour faire appaître le squelette d'origine, avec l'extension dist, il faut supprimer (ou mieux renommer) tous les squelettes apparentés (article-xx ou article) Cette logique s'applique également aux autres familles de squelettes : rubriques etc...
  3. Puisque Damien a décidé d'alimenter la paranoia de nos membres, je vais en rajouter une couche Google n'est pas big Syl, mais n'oubliez pas que les forums sont en général publics, et donc, que n'importe qui peut les lire... N'importe qui, y compris les salariés de Google ! A leur place, je le ferais régulièrement, soit pour se bidonner en se donnant des grandes claques sur les cuisses (parce que c'est dingue le nombre de sonneries avec un s comme dans crocodile que l'on peut dire sur les forums, y compris et surtout celui ci ), soit pour "surveiller" si un problème posant un problème d'image n'est pas en train de naître dans les communautés web. Il est clair que les forums anglophones sont sans doute les plus "lus", mais nul doute que certains forums francophones le sont aussi...
  4. Merci le Grand Blup pour ce lien. Voila un article dont le contenu achève de semer la confusion. Le post de Raphael Richard y contribuant... Donc CVFM pensait avoir été blacklisté par Google... Leur message dans le code source de leur site et des initiatives plus récentes en était les signes les plus flagrants... Maintenant, ils ont osé demandé la vérité à Google, et expliquent à qui veut bien l'entendre (sutout aux p'tits gars anglophones sur une colline à Mountain Valley)que c'est une erreur, qu'ils n'ont pas été blacklistés volontairement, que Google les a adoubé comme de gentils garçons (pardon je caricature), que les gens de Google France sont très sympathiques, et qu'en plus, ils sont les chevaliers blancs du référencement "organic" et créent opportunément en quelques heures un site consacré aux bonnes pratiques qui relaiera en direct la bonne parole de Google... Euh, c'est pas un peu cousu de fil blanc ça Cette suite d'initiatives personnelles de CVFM m'a beaucoup amusé. Faut oser Ca fait sans doute désordre, et devrait agiter le landernau du référencement, mais faut oser... Ensuite, se dégage un nouvel axe de communication pour les "vrais/faux blacklistés" : nous sommes victimes d'une campagne de l'IPEA/Netbooster, qui nous a associés éhontément alors que nous ne sommes pas concernés... Le problème, c'est que les intéressés ont mis près d'une semaine pour réagir... Du coup, sans juger du fond de l'affaire, ces dénégations sonnent faux, parce qu'elles arrivent à contretemps... C'est un peu dommage. Voila donc que l'affaire se dégonfle. (j'ai dit l'affaire, pas les acteurs : j'ai la dent dure ce matin, mais pas à ce point ). Tout cela annonce le maintien du statu quo ante, et l'enterrement prématuré d'un débat qui s'annonçait utile et intéressant.
  5. Il y'a du neuf... Raphael Richard de CVFM vient de poster des infos intéressantes sur searchenginewatch.com http://forums.searchenginewatch.com/showthread.php?t=1700
  6. Un nouvel article dans silicon.fr http://www.silicon.fr/click.asp?id=6537 et un article sur vnunet.fr d'un vrai journaliste qui décroche son téléphone pour aller à la pêche aux infos (super cela existe vraiment... M. Guerrier, merci !) http://www.vnunet.fr/actualite/strategies/.../ent/index.html La réponse de Google va faire bondir nos amis référenceurs Et une initiative de CVFM http://www.whitelisting.info/ qui me rappelle Organicrankings : http://www.organic-rankings.com le site US sur le même sujet...
  7. Peut-être que les circonstances présentes vont enfin révéler aux référenceurs l'intérêt de s'investir dans une association professionnelle. Jusqu'ici, l'habitude était plutôt de laisser d'autres bosser, puis tirer sur eux en disant "vous ne représentez rien" C'est toujours plus facile de critiquer que de construire...
  8. J'avais remarqué et je t'avoue que je m'étais posé la question. Maintenant j'ai la réponse
  9. Avec le système proposé par Spip, pas possible. Il faut modifier le formulaire de SPIP, et ajouter du code PHP dans le squelette affichant les réponses ... Ce n'est pas très compliqué.
  10. Bonne question. La réponse est : là où commence et finit la liberté d'expression partout ailleurs... Il n'y a aucune raison pour qu'il y'ait moins de liberté d'expression sur le web qu'ailleurs, mais aucune non plus pour qu'il y'en ait plus. Nous connaissons tous des exemples de ce type de forums... Cela existe, et cela ne me semble pas poser de problèmes de fond. Les forums fonctionnent un peu selon les principes des cafés ou des clubs privés, voire des associations... Si quelqu'un déboule dans un bar fréquenté par les Hell's Angels, et lance, sur la mode des trolls "les bikers sont tous des dégénérés", il se fera (au mieux) raccompagner gentiment à l'entrée... Sans que personne ne hurle à la violation de libertés, parce qu'une fois dans la rue, il peut le hurler à sa guise... Si quelqu'un n'aime pas ce qui se dit sur un forum, il a le droit d'ouvrir le sien ... Tout simplement. Pour en revenir à la question du jour, modérer (donc modifier) un post viole-t'il le droit d'auteur. Bah la réponse est clairement non, car rare sont les posts qui remplissent les conditions pour qu'ils soient considérés comme des oeuvres... Le Hub est un forum (violemment) modéré... Le type de post qui te pose problème aurait du mal à subsister plus que quelques minutes ici, quant au membre, il se ferait bannir sans préavis dans la minute qui suit... Et il irait crier à la violation de libertés ailleurs. Agir ainsi est un devoir pour éviter aux autres membres d'avoir à supporter les agissements de gugusses, et cela ne pose aucun problème, ni moral, ni juridique. Quoi qu'il en soit, pour différentes raisons que je ne veux pas développer ici, les forums posent toute une série de problèmes que la théorie juridique ne sait pas résoudre... Leur appliquer la législation existante consiste à enfoncer une cheville ronde dans un trou carré. Je pense qu'il faudrait reconnaître que les usages ont consacré des pratiques de fonctionnement et de résolution des conflits adaptée au cas des forums, que cela génère un droit sui generis qui ferait un bon sujet de thèse pour un étudiant en droit...
  11. L'IPEA semble très forte pour émettre des communiqués... Il sera intéressant de voir qui répond à cet appel... C'est marrant comme méthode... En général on envoie un mail ou un courrier à ses membres. Mais ça économise les timbres c'est sûr...
  12. Je viens de mettre en ligne la première partie d'un article sur la technologie CIRCA utilisée dans le programme Adsense (et peut-être dans le moteur aussi si l'on en croit certains...) Je commence par un long historique d'Applied Semantics, la société à l'origine de cette technologie. Un historique nécessaire pour rappeler que l'idée d'utiliser la sémantique pour catégoriser des pages web est plus ancienne que Google (et oui...), que le programme Adsense est né pratiquement en même temps que Google (et oui...) et que l'on a déjà réalisé des moteurs s'appuyant sur une technologie sémantique. Dans la deuxième partie, nous nous attacherons à étudier les principes de CIRCA, longuement décrit dans un document jadis présent sur le site d'Applied Semantics et disparu depuis le rachat de la société par Google... Enfin, dans la troisième partie, nous décrirons comment Adsense fonctionne et comment il "sert" des liens sponsorisés ou des pubs adaptées au contenu de vos pages... http://www.webmaster-hub.com/publication/article101.html
  13. Le discours et la position de Google est subtil, et je relève l'expression "intérêt public" dans ton post Nicolas, ce qui me permet de préciser que ce n'est pas "l'intérêt public" qu'ils invoquent, une notion qui au fil du temps a pris une signification particulière. Ce qu'ils invoquent, c'est l'intérêt des internautes... Les mois à venir vont être intéressants de ce point de vue, parce qu'il va falloir apprendre à démonter ce discours chez tous les protagonistes, car on peut tout justifier "au nom de l'intérêt des internautes", comme on a tout justifié au nom de "l'intérêt du peuple" pendant la Révolution. Google est une startup, née il y'a moins de sept ans dans les labos de l'université de Stanford (plus exactement dans le dortoir des étudiants de l'université de Stanford)... Il faut prendre "startup" ici dans son acception d'origine, c'est à dire une "jeune pousse" née du mariage entre des thésards à peine diplômés et des capitalistes prêts à investir dans une technologie prometteuse... (la folie des startups commence deux ans après) Dans ses débuts, Google a agi selon tous les codes habituels des startups de l'époque : utilisation intensive du logiciel libre, modèle économique de départ basé sur le "tout est gratuit", positionnement décalé (interface minimaliste, humour au second degré), ciblage des geeks, tout y est... Même les deux oo dans le nom ! Face à cet OVNI, Yahoo et Altavista présentaient forcément l'image d'affreux commerçants cupides... Google est donc devenu le "champion" d'une communauté web ayant une certaine vision du net (un espace de liberté absolue où tout est gratuit, un self service du savoir, et un lieu sans pouvoirs, complètement autogéré). Je pense qu'au début, ce positionnement a été naturel chez Google, et que l'osmose avec son public d'utilisateurs a résulté d'une démarche sincère de la firme de Brin et Page... Google use et abuse de cette image aujourd'hui. D'une manière que certains jugent de plus en plus cynique... Mais Google n'avait pas forcément planifié de grossir aussi vite... Il leur était difficile d'imaginer que dans des pays comme la France, ils atteindraient 74% des requêtes (jusqu'où cela va-t'il monter ?). Maintenant qu'ils sont "gros" et "cotés en bourse" et "influents", leur image "alternative sympa" en prend un sacré coup ! Et ils se réveillent maintenant avec un nouveau rôle que l'on veut leur faire endosser, pour lequel ils ne sont pas forcément très préparés. Bref certains leur demandent d'assumer leurs responsabilité. Sauf que le costume est peut-être un peu grand pour eux, et ce n'est pas vraiment le rôle d'une société privée de "réguler" quoi que soit, et encore moins de s'auto-réguler... Ce qui me fait d'ailleurs penser que si table ronde il y'a, il ne faudra pas oublier d'y associer la puissance publique d'une manière ou d'une autre, qui ne peut pas se désinteresser complètement de l'évolution du paysage web francophone... Non, ce n'est pas la raison, mais c'est un autre sujet... D'ailleurs la LCEN consacre le droit de "recel" de copies de pages et de données sur une machine, pour des raisons techniques.
  14. Cette indépendance est un mythe... Elle n'existe pas. Google influence fortement le web, sa perception, et surtout son économie. Influencer plus l'économie du web, et le web en général, constitue le coeur de sa stratégie... Ce n'est pas un service public, mais une société commerciale. La qualité des résultats de son moteur fait partie des "outils" qui lui ont permis de gagner sa position. Mais comme d'autres acteurs, elle n'hésite pas à proposer aux internautes des liens publicitaires, qui apparaissent non pas en fonction de leur pertinence réelle mais des enchères sur les mots clés... Avec les adsense, Google est aussi descendu dans l'arène concurrentielle, en concurrençant les régies pubs traditionnelles. Il est clair que les inclusions payantes ne rendraient pas les rapports avec le moteur plus sain. Mais il ne s'agit pas de cela, mais des rapports entre un acteur d'un marché et ses concurrents, dans un contexte de position dominante...
  15. Un nouvel article de ZDNet sur le sujet... Il semble que l'IPEA ait réussi à faire parler d'elle. voir l'article Le Monde Informatique aussi http://www.weblmi.com/news_store/2004_09_1...r_100/News_view
  16. Personnellement, je pense que le problème de la "pollution" commerciale des pages de résultats trouvera sa solution naturellement. Les modèles économiques liés au web évoluent rapidement, mais il faut quand même "laisser le temps au temps". Quand un certain seuil de tolérance aura été franchi, quelqu'un (un acteur actuel, ou nouveau) proposera une solution permettant de "virer" les réponses commerciales si l'internaute le souhaite. Les solutions existent, sauf qu'aujourd'hui, les moteurs ne trouvent pas intelligent (cela leur ferait perdre de l'argent) de les utiliser ... Pour en revenir à ces histoires de référenceurs, de blacklistage et de "spammy pages", je pense qu'il faut prendre un peu de recul et se poser quelques questions fondamentales... Tout d'abord, j'ai toujours été étonné de voir à quel point les débats autour du fonctionnement du web étaient fortement imprégnés d'idéologies, et surtout, je suis étonné de constater que rare sont les acteurs de ce milieu qui sont conscients d'être "influencés" par ces idéologies... Je parle là par exemple : - de l'idéologie anarcho-libertaire autour du monde du logiciel libre, - de l'idéologie anarcho-nihiliste chez certains groupes de hackers - de l'idéologie des réseaux chez à peu près tous les acteurs - de l'ultralibéralisme et du néo-liberalisme chez certains acteurs majeurs du web - de l'altermondialisme chez certains de ceux qui dénigrent le pouvoir de Microsoft et maintenant de Google - du scientisme chez ceux qui pensent que la technologie résout tout, très présente dans le discours des dirigeants de Google - du post-modernisme, - ... Le problème, c'est que faire dialoguer un acteur dont la pensée est neo-libérale, avec un anarcho-libertaire est totalement vain : ils sont dans des paradigmes opposés, et les mots n'ont tout bonnement pas le même sens chez chacun d'entre eux. Et pourtant, c'est un peu ce qui se passe dans ces débats sur le "bien ou le mal" sur les techniques du référencement. Cette influence idéologique conduit à créer des "pièges" qu'il faut apprendre à identifier pour ne pas tomber dedans... Le piège le plus évident est le transfert d'un problème essentiellement technique et économique, sur le terrain de la "morale"... L'optimisation des pages pour les moteurs de recherches est à rapprocher des techniques de packaging ou de marketing utilisées abondamment dans le reste de l'économie... Pour ceux qui voient surtout dans internet le nouveau media, faites un tour dans un kiosque : les couvertures accrocheuses, aux photos trash démontrent que dans la presse magazine aussi, il y'a "optimisation". Dans de nombreux secteurs, ces techniques font partie du paysage, tout le monde les utilise avec plus ou moins de bonheur, et personne ne s'en offusque... Pas sur internet... Les acteurs, et notamment les moteurs de recherche, en "détournant" les références idéologiques, les "codes" libertaires et en s'appuyant sur la nouvelle mythologie du web, ont réussi à faire croire à des utopies qui n'existent pas dans le monde réel... Par exemple : 1. Il existe un web parfait, composé de gens parfaits, écrivant des pages parfaites : correctement hiérarchisées, complètes, impartiales, sans faute d'orthographe, structurées selon une logique unique, avec un vocabulaire uniforme. En plus, dans ce web parfait, on peut trouver toute l'information dont on besoin les internautes Dans ces conditions, toute personne qui conçoit une page ne répondant à ces critères commet un "péché" en venant "polluer" ce web idéal. 2. L'information contenue dans une page web se compose d'un "message" (texte) et d'un code autour que l'on peut séparer. Indexer le web revient donc à n'indexer que les messages ... Et le web est une grande bibliothèque remplie uniquement de textes que les moteurs de recherche rendent accessible à tout le monde. Aïe... le mythe du contenu ! De l'information ! La vérité c'est que le web est rempli de pages inutiles, sans intérêt, périmées, et de fausses informations... Et que les moteurs indexent surtout le bruit de fond, et ont du mal à faire ressortir le signal de tout ça... Le principe des moteurs actuels n'est d'ailleurs pas de répondre aux questions des internautes, mais de sélectionner des pages, de les trier tant bien que mal, et de laisser l'internaute lire les pages pour déterminer si l'information qu'ils cherchent est bien là ! Dans ces conditions, "spammer" revient à gêner la "mission" des moteurs de recherche, qui est de rendre accessible l'information au plus grand nombre, dans un grand élan égalitaire. Sauf que tant que les concessionnaires jaguar voient leurs sites mélangés avec des pages sur les animaux, ils se posent forcément des questions sur la pertinence du média internet... Quand ils font de la pub ailleurs, ils peuvent choisir "L'Auto-journal", tandis que d'autres achètent le monde des Animaux 2. Dernier exemple de mythe teinté d'idéologie : nous les moteurs de recherche, nous nous contentons de prendre le web tel qu'il est, et de l'indexer... Nous sommes extérieurs au web, n'avons aucune influence sur lui... Modifier ses sites en fonction de nous est mal. Cela fausse les règles du jeu. Ce discours est assez récurrent chez les acteurs des outils de recherche... Il est vrai qu'à leurs débuts, tous les moteurs de recherche ont commencé par une phase où ils n'influençaient pas le web. Mais pour Google en premier lieu, les temps ont bien changé, et leur influence est devenue telle que la "vitre" du labo a explosé, pour faire place à une interaction forte entre l'indexeur et les indexés... Cela ne doit pas être d'ailleurs facile pour les employés d'une société avec la culture de Google de se réveiller un matin cotée en Bourse, avec un droit de vie et de mort sur certains sites, et d'être regardé par ceux-là même qui vous adoraient et vous avaient choisi comme champion de la lutte alternative et anarcho libertaire comme un monstre à visées totalitaires... mais "that's life". Les moteurs de recherche sont devenus des acteurs majeurs du web. Je dirais même qu'ils sont rentrés de plain pied dans le monde de l'économie réelle. Ils ne sont plus des observateurs extérieurs et irresponsables... Leurs agissements ont des conséquences, positives ou négatives. Leurs erreurs, leurs abus, les conduisent maintenant régulièrement devant les tribunaux. Et leurs actions, conduisent à des réactions... Bref, je pense sérieusement que tant que l'on aura affaire à des débats dans lesquels les moteurs donnent des leçons de morale et expliquent ce qui est bien ou mal, au lieu de dire simplement ce qui les arrangent ou ce qui les gêne, et en face des acteurs qui crient au "liberticide", au lieu de s'inscrire dans un rapport de forces économiques et de faire respecter ou avancer le droit, rien de bon ne sortira de tout ça... Le web s'inscrit dans le monde réel, les solutions sortiront d'une analyse partagée du monde réel, pas de la confrontation des mythologies et des idéologies.
  17. Voila qui est clairement posé ! Bon, le problème c'est que je ne vois pas un salarié de Google débouler sur le Hub et dire "Mais nous aussi nous sommes prêts au dialogue" (quoique, on peut rêver ). Donc, messieurs les référenceurs, comment comptez-vous "sortir le loup du bois" Je connais bien une ou deux techniques efficaces, mais cela ne marchera que si votre profession se montre un minimum organisée et solidaire, et pour le moment, mon sentiment est que ce n'est pas gagné...
  18. Marcel89, un long post comme le tien choque effectivement moins sur le Hub qu'ailleurs, les membres ici sont plus habitués à des posts où l'on prend le temps d'exprimer sa position dans le détail, et en argumentant... Ton coup de gueule résume bien (non ce n'est pas ironique, j'ai bien dit "résume") à mon avis le ressenti de pas mal d'acteurs de ce marché, si j'en crois ce qui se dit ici ou là... Le principal problème, dans cette histoire, ce n'est pas seulement la position dominante de Google parmi les outils de recherche, c'est aussi que les acteurs français du référencement n'ont pas d'interlocuteurs accessibles en France... Un problème de blacklistage ? Envoyez un mail à un type à Mountain Valley. Certes maintenant, ils comprennent et répondent en français ... Mais qui répond ? Qui décide ?
  19. Cela fait plusieurs fois que je vois apparaître cet argument : il y'aurait une spécificité du marché français du référencement ? Peut-être, mais j'aimerais bien que quelqu'un m'explique en quoi consiste cette spécificité française, car je ne suis pas sûr de la comprendre vraiment
  20. Renseignements pris , le "déréférencement" de Netbooster date un peu (juin 2004). L'article du Journal du Net a donc le mérite de révéler au grand jour une série d'évènements qui agitent le Landernau du référencement... Quelques sources bien informées (les intéressés eux mêmes) indiquent que d'autres sociétés de référencement ayant pignon sur rue ont été victimes aussi d'un déréférencement, probablement manuel, au cours des mois écoulés... Le cas le plus flagrant étant celui de la société CVFM, qui a placé un message explicite dans le code source de sa page CVFM.com La question se pose aussi pour le site de l'association SEMA7. Certains de ses membres pensent qu'il a aussi été blacklisté... Ce dernier cas, s'il se confirmait, poserait un grave problème de fond... Cela m'intéresserait beaucoup d'obtenir des éléments tangibles prouvant un réel blacklistage, et non un simple problème technique ...
  21. Délais ? aucun ... La loi en question a été promulguée le 22 juin 2004... Les dispositions en cause n'ont pas besoin de décret d'application. Tout le monde doit donc avoir fait ces modifications depuis le 22 juin 2004 au plus tard...
  22. Autre truc (plus efficace mais encore plus dangereux) : utiliser le filtre non documenté de SPIP * #TEXTE* désactive les traitements par défaut de SPIP... le résultat c'est que tout le code HTML ou autre inclus dans l'article sort tel quel... Inconvénient, les balises SPIP ne sont plus interprétées...
  23. Oulah ! J'entends déjà les cris de joie de certains référenceurs "ouaaaiiis!" Netbooster, avec son système permettant de créer des pages sat de manière industrielle, s'était clairement aliéné une partie du monde du référencement... Mais à mon avis, leur principal péché était d'avoir réussi à se constituer une clientèle de grands comptes prestigieux. En tout cas, si la situation n'évolue pas (je suppose que le téléphone va chauffer, et que leurs avocats vont avoir du boulot), c'est un signal fort envoyé à la communauté du référencement ... "Nous n'utilisons aucune technique de spamming" dit on chez Netbooster... On ne peut pas les contredire efficacement sur ce sujet, personne ne sait vraiment ce qu'est le "spamming", et il n'y a pas de loi contre... Par contre, Google semble "officiellement" considérer les techniques de Netbooster comme du spamming... Intéressant !
  24. Oui, l'usage est de mettre un lien "mentions légales" dans le footer du site, pointant vers une page contenant les mentions légales... Cet usage n'est pas remis en cause par la LCEN, donc on peut continuer à procéder de cette façon. Par contre, ce footer doit de préférence être présent sur toutes les pages du site... C'est plus conforme à l'esprit du texte...
  25. En fait la solution est simple... Les "squelettes" de spip sont des templates, qui servent à générer un générateur de pages php... Dans le script php définitif, le #TITRE est remplacé par lachainedecaractèrescorrespondantautitre donc, echo #titre donne une erreur de syntaxe... A cause des problèmes de quotes, d'espaces, de caractères spéciaux etc... Sans compter les problèmes de typage de variables... par contre tu peux récupérer le texte du titre de la manière suivante $titre_spip='[(#TITRE|texte_script)]'; (ne marche que dans une boucle spip, pas à l'extérieur) Après tu peux utiliser la chaîne comme tu veux dans ton script...
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