Aller au contenu

Cariboo

Membre+
  • Compteur de contenus

    3 376
  • Inscrit(e) le

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Cariboo

  1. Le plus étonnant, c'est qu'il semble que le journaliste de Libération ait quand même passé des coups de fil ... Donc je retire ce que j'ai dit : il a fait un effort et réalisé un commencement d'enquête. Ce qui me rassure sur l'éthique journalistique dans notre presse quotidienne... Mais bon, il n'y a pas plus d'infos dans le papier que ce qui avait déjà été publié sur la presse online voilà un mois.
  2. Comme le dollar baisse par rapport à l'euro régulièrement depuis un an, il se passe la chose suivante... Si un annonceur payait 1000 euros il y'a douze mois, il paie toujours 1000 euros aujourd'hui, mais Google touche plus en dollars car le change lui est favorable... Si un éditeur de la zone euro touchait 400$ il y'a douze mois, et qu'il touche toujours 400$ ces jours ci, il a peut être l'impression que sa rémunération est stable, mais en réalité, il touche moins après conversion... Avec cette histoire de taux de change, Google peut augmenter son taux de régie sans que cela se voie... Taux de régie que personne ne connait, je le rappelle... il peut changer à chaque clic ou être fixe, personne n'en sait rien. La bonne question c'est : est-ce que les éditeurs bénéficient de l'augmentation mécanique des investissements des annonceurs qui paient en euros et due au taux de change ?? Rien n'est moins sûr. Difficile à prouver, mais je suis sceptique.
  3. Cette phrase va dans quelques jours fêter son anniversaire !!! Donc les quelques mois se sont déjà transformé en une année minimum Mais pour l'instant, il est clair que Google a intérêt à faire payer les annonceurs en euros, et à reverser leur dû aux éditeurs en dollars... Avec l'évolution du change, le grand gagnant dans l'histoire c'est google...
  4. A ce stade, c'est un peu du réchauffé non ? De la part de Liberation, on s'attend à des infos plus récentes, et à un minimum d'effort d'enquête...
  5. Ce sont pourtant bien deux associations distinctes... Je pense que les créateurs de SMA-EU ne connaissaient pas l'IPEA-SMA
  6. En partenariat avec Webmaster-Hub, Neodia organise les trophées du Netmarketing 2004, qui récompenseront les meilleurs netmarketers de France. Le but du concours consiste à mettre en avant un ou des métiers encore souvent méconnus dans le milieu du web français, dépoussiérer les idées préconçues, corriger les préjugés ou tout simplement faire découvrir de nouveaux apports dans différentes disciplines. Il sannonce aussi comme un révélateur de nouveaux talents et personnalités dans le domaine, car seront récompensés non seulement la créativité ou linnovation dune personne, mais aussi la qualité de son travail, la cohérence dun projet mené ou les résultats quelle a obtenu. Sans oublier des notions toutes aussi importantes tel que le partage de connaissances ou le soutien dautres membres de la communauté. Les Trophées du Netmarketing 2004 récompensent 4 catégories, 1 grand trophée et 4 trophées décernés aux meilleurs dans chaque discipline principale du webmarketing. Les inscriptions à ce concours seront gratuites, et ouvertes à partir du 15 septembre jusquau 20 novembre 2004. Date limite de participation : 20 novembre 2004 Les catégories de trophées Trophée du référencement Trophée de laffiliation Trophée de la fidélisation Trophée de la publicité / emailing Pour vous inscrire : http://www.trophees-netmarketing.info/insc...on_trophee.html Le site du trophée : http://www.trophees-netmarketing.info/ Si vous voulez avoir plus d'infos, ou réagir, n'hésitez pas à utiliser ce fil.
  7. Une représentativité qui se veut adresser tous les acteurs et fournisseurs de l'industrie du référencement (je suppose que fournisseurs = moteurs ?) ... L'une des différences principales entre la démarche de SMA EU et le SEMPO, c'est que les outils de recherche sont représentés dans le board du SEMPO, mais pas chez SMA EU. Beaucoup de SEOs reprochent aux dirigeants du SEMPO de passer leurs journées à chanter des sérénades sous le balcon des outils de recherche, au lieu de défendre les intérêts des référenceurs. Il semble que SMA-EU se constitue comme une instance plus démocratique et plus axée sur la défense des intérêts d'une profession. Le SEMPO ressemble dans son fonctionnement et ses objectifs à l'IAB, ce qui prouve que le SEMPO peut avoir son utilité à partir du moment où on ne lui demande pas de faire autre chose que de développer un marché et structurer un business... Il va falloir quand même être patients, et être conscients des difficultés de la démarche dans le contexte franco-français. SMA-EU a très peu de moyens, et pour l'instant, peu de membres (en fait officiellement aucun, le bureau est provisoire). Plusieurs référenceurs français ont déjà fait acte de candidature, certains sont déjà "animateurs" d'autres associations françaises, ce qui ne risque pas de faire évoluer beaucoup le paysage Donc mieux vaut laisser le temps au temps pour savoir si réellement, SMA EU va apporter quelque chose...
  8. Depuis que nous avons lancé le forum "référencement professionnel", j'ai remarqué trois choses... Tout d'abord que de nombreux référenceurs indépendants avaient exprimé leur volonté de faire avancer la réflexion sur leur profession, et sur l'avenir de cette profession. Et j'ai reçu de nombreux messages encourageant le Hub à être un espace de discussion sur ces sujets. Ce qui fut une bonne surprise J'ai pu observer ensuite à quel point quelques personnes au sein de cette profession étaient obsédés par des pseudo-enjeux de pouvoir... Il y'a trois associations de référenceurs, qui rassemblent péniblement quelques sociétés ou indépendants. Je suis désolé d'avoir à émettre un avis aussi tranché, mais aucune n'est représentative. Même l'addition des trois ne serait pas représentative... Et la tentative, que l'on peut déclarer aujourd'hui avortée, de création d'un "collectif" démontre que tant que ce milieu professionnel fonctionnera par autoproclamation de "leaders" qui demandent aux autres de les suivre dans leurs aventures, rien de bon n'en sortira... Enfin, je dois confesser que nous avons trop tenu compte des influences extérieures, plutôt que de laisser les débats et les réflexions continuer de se développer sur le Hub... Nous allons donc nous attacher dans les jours qui viennent à relancer les travaux sur le Hub, dans l'esprit des premiers échanges, qui, me semble-t'il, était particulièrement productif, et ceci, dans trois directions différentes : - mieux connaître le référencement : qui pratique le référencement en tant qu'activité unique, principale, secondaire ? Qui sont les référenceurs ? - échanger avec les acteurs de ce marché : outils de recherche, search marketers, webmasters... - quelle est la réalité du référencement aujourd'hui. Quelle évolution attendre dans les pratiques, le métier ?
  9. Sauf que là, ce dont parle Toma007, c'est d'une autre sorte de stabilité... Un programme en cours d'élaboration est déclaré "stable" quand il a atteint un niveau de développement tel qu'il est passé au stade "version définitive" et que les bogues qui ont été relevées après le lancement de la version définitive ont été corrigées... On dit donc "stable" parce que son code ne bouge plus... Par contre, en termes de l'autre "stabilité", c'est plutôt mieux qu'IE, même dans ses préversions. Je n'ai pas réussi encore à faire se crasher Firefox, alors qu'avec IE euh... ben faut juste attendre un peu Donc Loupilo avait raison aussi...
  10. La version 1.0 sort le 9 novembre, un peu de patience Oui, la version actuelle est non dénuée de bogues... Mais il y'a de fortes choses que vous utilisiez la préversion... La RC1 qui corrige déjà 250 bogues est dispo depuis quelques heures... D'autres choses seront corrigées d'ici la version 1.0 Maintenant, est-ce que le fait que le logiciel soit open source permet plus facilement de trouver des failles dans le logiciel ? Les partisans de l'open source disent "oui, mais la communauté les corrige très rapidement, et détecte la plupart des failles avant le désastre". Personnellement, j'ai toujours trouvé cet argument assez "léger". Je crois que l'existence de failles est inhérente à toute programmation complexe, et que l'on doit donc vivre avec. Le fait que le programme soit open source ou pas ne change rien. Sauf que le culte du secret a du mal à prendre dans la communauté open source, ce qui sous entend que s'il y'a un gros problème, tout le monde le saura très vite. Ce qui me rassure plus avec Firefox, c'est que "par construction" il n'autorise pas tout un tas de fonctionnement par défaut qui créaient des failles potentielles dans tous les sens sur IE.
  11. Dans l'absolu, le risque existe toujours que le "créateur" revendique ses droits moraux sur l'oeuvre qu'il a réalisée... Voire même ses droits patrimoniaux s'il a été lésé de ce côté là. Dans la pratique c'est quand même un cas extrême. Car même si les contrats sont rarement très clairs (et c'est un tort) sur ce sujet, les créateurs de site web vendent déjà de facto les droits d'exploitation de leurs graphismes à leur client. Ensuite, ils ne peuvent invoquer leurs droits moraux que si leur création peut réellement être qualifiée d'oeuvre originale, ce qui n'est pas toujours évident... Bref, il y'a un risque juridique théorique, que l'on peut diminuer par un contrat bien rédigé. On ne peut pas éliminer ce risque, juste le rendre suffisamment faible pour être tolérable. Le droit français protège les auteurs contre une exploitation injuste et non respectueuse de l'oeuvre d'un auteur. Par contre, les tribunaux donneront difficilement raison à un petit malin qui voudrait invoquer le droit d'auteur pour toucher une dîme sur le travail de quelqu'un d'autre.
  12. Rien. Cela ne veut rien dire, car cela fait des mois que l'IPEA a annoncé son changement de nom en "search marketing association." Sauf que ce nom a eu du mal à s'imposer et que tout l'univers du référencement continue à désigner l'organisation sous le nom IPEA (y compris ses dirigeants). Donc non, pour l'instant, l'IPEA-SMA n'a rien à voir avec cette association européenne... Le problème, c'est que n'importe qui peut faire certifier n'importe quoi en y mettant le prix. Je ne veux pas dire par là que ce label n'est pas sérieux, juste que le fait que s'il ne s'applique qu'à un seul référenceur, cela ne résout pas le problème de la profession. Qui plus est, le référentiel est un peu trop général pour donner une indication sur la qualité d'un référenceur : Une page intéressante de droitdunet.fr sur ces "labels" http://www.droitdunet.fr/par_profils/lectu...ateur&it=5&id=3
  13. Ce qu'il faut comprendre dans cette histoire, c'est qu'être éditeur de contenu, cela coûte beaucoup, beaucoup d'argent. Une rédaction cela coûte très cher à entretenir... Les cimetières sont remplis de sociétés internet qui ont fait faillite faute d'avoir pu continuer à payer des journalistes pour écrire leur contenu. Et pourtant, l'information sans journalistes pour écrire des articles et des brèves, cela n'existe pas. C'est pour cela qu'il y'a eu une concentration importante des groupes de presse : seules de grosses sociétés ont eu les reins assez solides pour résister à l'inflation des coûts de production de l'information, de fabrication des magazines et des quotidiens, et de leur distribution. La plupart des sociétés de presse ont décidé de publier gratuitement leur magazine en ligne sur internet. Certaines sont passées à des modèles partiellement payants, mais aucune ne gagne beaucoup d'argent avec les ventes de ses abonnements en ligne. La plupart se sont dits "pas grave ! On va se rattraper avec la publicité en ligne". Sauf que si leurs annonceurs sont "captés" par Google au lieu d'acheter directement leur pub auprès de leurs commerciaux, devinez qui perd une part de sa marge commerciale ? On comprend mieux la réaction de ces groupes de presse britanniques, et pourquoi ils trouvent que certains moteurs agissent comme des "parasites" commerciaux. Qui plus est, la prolifération des services de news automatiques (msn newsbot, yahoo news, google news) crée un danger supplémentaire. Les outils de recherche réussissent, en "pompant" les informations sur les sites des éditeurs, à créer l'équivalent d'un "journal" en ligne d'une richesse incomparable, sans en supporter les coûts... Bref, la mise en danger des groupes de presse par les outils de recherche et leurs modèles publicitaires, et le contrôle des flux d'information est un dossier à prendre vraiment au sérieux.
  14. Tiens, un article paru dans journalist.co.uk, qui donne un peu le ton Outre Manche... http://www.journalism.co.uk/news/story1120.shtml Apparemment, ce monopole inquiète le secteur de la presse en ligne au Royaume Uni. J'en ai traduit de vastes extraits, c'est assez édifiant, d'autant plus que ces propos ont été tenus devant un cadre de Google.
  15. Le problème du concours "payant" c'est qu'il devient assimilé à une loterie... Or l'état à le monopole sur les jeux d'argent... ouïe... Et seul la FDJ ou des établissements et sociétés agréées par le Ministère de l'Intérieur (comme les casinos) ont le droit de pratiquer ce genre de choses... C'est pour cela que l'on voit toujours la mention "jeu gratuit" ou "jeu gratuit sans obligation d'achats" sur la plupart des concours ! Rappel de la législation sur les jeux concours à caractère publicitaire :
  16. Trois jours après l'annonce de la création de l'association SMA-UK, voilà la création de SMA-EU. EU comme Europe ! SMA-EU est présidée par le référenceur Danois Mikkel deMib Svendsen. Il s'agit d'une association différente, mais qui a vocation à travailler étroitement avec SMA-UK. SMA-EU semble vouloir se calquer sur l'organisation de l'association du Royaume Uni, et a vocation à essaimer dans toute l'Europe. L'annonce de la création de ces organisations complémentaires tombe à quelques jours de la SES de Stockkholm, ce qui va faciliter la rencontre entre les nouveaux membres et faciliter la structuration de des organismes. Le site de SMA-UK Le site de SMA-EU
  17. Dans une récente brève, nous annoncions la création de SMA-UK, une organisation de référenceurs du Royaume Uni présidée par Barry Lloyd de MakeMeTop. http://www.webmaster-hub.com/publication/breve162.html Cette association a été créée par une dizaine de référenceurs, mécontents du fonctionnement non démocratique du SEMPO (notamment Mike Grehan, dont la voix s'était faite entendre à l'occasion de la dernière convention du SEMPO), ou de la non représentation des SEOs britanniques au board du SEMPO. Si l'on en croit les propos rapportés dans Clickz, cette organisation n'a pas pour seule ambition de "combler" un vide laissée par le SEMPO au Royaume Uni. Les objectif de l'association SMA semblent de créer une véritable alternative au SEMPO, partout en Europe... http://www.clickz.com/news/article.php/3425291
  18. Un tel forum sur ce sujet devait bien apparaître un jour... Il est heureux que ce soit toi qui lance cette initiative. Bravo ! Tous mes voeux t'accompagnent dans cette aventure...
  19. Pour les développeurs indépendants, la RCP n'est pas obligatoire. Mais certains clients prudents l'exigent. Et en souscrire une est une mesure de prudence élémentaire. Il est donc chaudement recommandé de souscrire une RCP "de base", qui, pour ce type de profession, reste à un niveau de cotisation accessible (mais pas donné, une couverture complète se négocie à 1000 TTC, une couverture minimale à 200 minimum).
  20. Bon, la presse est unanime. Je vais te conseiller la même chose : dotclear ... Pour l'instant je n'ai pas trouvé mieux sur la combinaison : simplicité d'installation x performances x versatilité x fonctionnalités. Sinon, SPIP peut aussi être une solution, peut-être plus adaptée : mais il faut apprendre le langage de boucles.
  21. Pour l'instant non, mais attention, des failles il y'en a... J'utilise tout le temps les deux, il est fréquent que j'aie des fenêtres IE et Firefox ouvertes en même temps. Aucun problème de cohabitation.
  22. Il m'a bien fait rire ce screenshot aussi... C'est une idée de se faire passer des messages dans le code source... Et on reconnait bien là le langage imagé et fleuri des informaticiens
  23. En fait c'est simple : 1. Aucune loi ne régit explicitement cette histoire de liens 2. C'est donc le bon vieux code de la propriété intellectuelle qui s'applique Les juristes sont très partagés sur ce point. Voici le document le plus "intelligent" que je connaisse sur cette histoire, parce qu'il détaille le pour, le contre sans rien affirmer : http://www.foruminternet.org/recommandatio...re.phtml?id=507 Conclusion : la position du "Geste" a un fondement juridique (et surtout économique en fait). Les systèmes de syndication de news à la Google, Yahoo et MSN sont fragiles du point de vue du droit d'auteur... Mais tiennent parce que la plupart des sources sont satisfaites d'avoir plus de retours. Le fait de créer du contenu par plusieurs liens profonds sans autorisation du site lié commence à violer le droit d'auteur. Mais beaucoup de sites s'en accommodent. Conclusion : faire un lien vers un article => oui, ce peut-être une citation faire plusieurs liens vers plusieurs articles de la même source => on se rapproche du panorama de presse, danger ajouter en plus titre et description => c'est un début de panorama de presse : pb.
×
×
  • Créer...