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Bonjour Nullette, Non, aucun intérêt. Les commentaires sont ignorés par tous les moteurs.
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convention collective des agences web et de com
Stephane a répondu à Guins - Forum : Administration & Droit
Politiquement et économiquement, le Syntec se situe quelques années-lumière à l'extrême-droite de toutes les autres autres branches du Medef. En particulier, certains "Documents de position" de Syntec informatique visent ouvertement à remettre en cause le Code du travail. Parmi les propositions de Syntec : mettre au chômage partiel les salariés en intercontrat, allonger la durée légale des CDD, revaloriser l'image du licenciement afin d'en faciliter le recours par l'employeur (selon leurs propres termes: « Transformer chaque licenciement - autre que faute grave ou lourde - en opportunité de nouveau départ pour le collaborateur. ») Je suis moi-même "patron", mais on ne me verra pas de sitôt adhérer un jour au Syntec... -
convention collective des agences web et de com
Stephane a répondu à Guins - Forum : Administration & Droit
Très souvent le Syntec en effet, malheureusement pour les salariés de ces entreprises... -
[fermé]Netbooster déréférencé par Google !
Stephane a répondu à Kimberlyclarko - Forum : Techniques de Référencement
Je ne pense pas non plus que Google nous la donnera. Mon avis est que l'obscurité de ces guidelines est volontaire. C'est ce qui leur permet de souffler le chaud et le froid vis à vis de webmasters affolés à la recherche de cette fameuse "clé". Ca correspond bien en tous cas à leur politique générale de communication. Les guidelines ne sont que de la com après tout. Regarde par exemple l'attitude de Googleguy sur WMW et sa manière d'encourager toutes les rumeurs, y compris les plus contradictoires. 97% en fait, je n'ai pas la source exacte sous la main mais je recherche ça. Cet article un peu ancien donnait déjà le chiffre de 96% : http://www.traffick.com/article.asp?aID=162 Concernant leurs Conditions générales d'utilisation, j'avoue que je ne sais pas quoi en penser. Effectivement ce truc est tellement ambigü qu'on peut y lire comme tu sembles le faire que les sites commerciaux n'ont pas droit au référencement. Mais je ne suis pas juriste, et j'aimerais bien avoir l'opinion de quelqu'un qui puisse vraiment nous traduire ça en termes clairs. -
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Stephane a répondu à Kimberlyclarko - Forum : Techniques de Référencement
Faut-il comprendre que ne pas se cacher est la meilleure manière d'enfreindre les règles ? Bon, de toute façon, pour qu'il soit possible d'enfreindre des règles, il faudrait déjà qu'il existe des règles potentiellement applicables. La seule règle qui se dégage des guidelines de Google est : "n'optimisez pas vos sites". Ca ne nous avance pas plus malheureusement. Quand à envisager des conventions... entre qui et qui ? On voit bien que rien que Google et Yahoo sont en désaccord sur presque tout... Le problème est bien là. Les "règles" sont inapplicables à la lettre. Il nous manque en effet une clé de lecture. Mais cette clé, ni toi Cendrillon, ni moi, ne l'avons. Il n'y a que Google qui puisse la donner. Quels seront les premiers à être sanctionnés ? Les soit-disant "white hats" qui appliquent en effet à la lettre la règle "n'optimisez pas vos pages" mais achètent du backlink par paquets de 10 000 afin de booster leur PageRank ? Les fous furieux de l'optimisation, prêts à tout dans la surenchère technologique, mais qui bien souvent prétendent eux-mêmes respecter l'esprit des guidelines en ne cherchant pas à "manipuler leur PageRank" ? Personnellement, je pense que les sanctions tomberont des deux côtés à la fois parce que Google n'aime pas la démarche consistant à essayer d'interpréter ce qui a été volontairement de leur part conçu comme obscur. Par conséquent, je ne chercherai pas moi-même à décrypter le message googlien au-delà de ce qu'il veut dire... -
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Stephane a répondu à Kimberlyclarko - Forum : Techniques de Référencement
L'emploi du mot "triche" dans ce contexte me surprend un peu... C'est un mot que je n'avais probablement pas entendu depuis les cours de récré d'école primaire. Bien qu'il y ait évidemment une dimension sportive et ludique dans le référencement (les concours de positionnement en sont un bon exemple - YES! je viens de regagner 6 places sur Seraphim proudleduck ), le référencement en lui-même n'est ni un sport, ni un jeu. On est en plein dans la vie réelle. Et la vie réelle donne l'avantage à ceux qui consacrent le plus d'effort et de budget. Dans d'autres secteurs marketing, il ne viendrait à l'idée de personne de dire de Coca cola qu'ils "trichent" vis à vis de Pepsi pour se rendre plus visibles et vendre plus. Si la campagne publicitaire de l'un permet de dominer l'autre, c'est simplement qu'il y a davantage de moyens investis du côté des gagnants. Le référencement fonctionne comme ça aussi, bien que le ticket d'entrée soit plus abordable qu'en publicité traditionnelle et que les plus gros budgets ne soient pas toujours les vainqueurs. -
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Stephane a répondu à Kimberlyclarko - Forum : Techniques de Référencement
Bonsoir Thomas, Si le moteur dont on parle est bien Google, je pense que l'on peut dire également que presque aucun webmaster français ou européen ne suit ces "règles". En parcourant rapidement les guidelines de Google, je note par exemple les "règles" suivantes. http://www.google.fr/intl/fr/webmasters/facts.html Sur ce point, presque tous les webmasters un minimum soucieux de leur référencement sont en "infraction" avec ces fameuses ToS. On peut se demander à ce sujet pourquoi Google n'accrédite pas encore un ou plusieurs des outils de mesure de positionnement existants. S'il ne le fait pas c'est probablement parce que, comme il le reconnaît lui-même, ces outils constituent une goutte d'eau dans l'utilisation quotidienne de leurs ressources informatiques. http://www.google.fr/intl/fr/webmasters/2.html Ben voyons... Puisqu'on est sur ce terrain là, je peux tout aussi bien affirmer qu'avoir un logo multicolore ne respecte pas le principe de base du bon goût. http://www.google.fr/intl/fr/webmasters/guidelines.html Comme le disait quelqu'un précedemment dans cette discussion, "chacun son métier". Google n'a pas à imposer des standards en matière de design de sites internet. Chacun a le droit d'opter pour une mise en page 100% graphique s'il le souhaite. Rappelons que les balises Meta constituent déjà par définition du texte caché, de même que les balises Noframes, etc. Il faudra qu'ils nous expliquent un jour ce qu'ils entendent par redirections sournoises... Y a-t-il un lien avec l'incapacité manifeste de Google à gérer correctement les redirections serveurs qui conduit aujord'hui certains webmasters à se livrer à un petit jeu malsain de déréférencement de leurs concurrents à coups de redirections 302 ? Concernant le cloaking. 99% des forums Invision sont donc "illicites" puisque ce script cloake par défaut les signatures vis à vis de Googlebot (pas sur le notre, puisque Dan a résolu le problème). Le cloaking a parfois son utilité, notamment pour les webmasters utilisants des IDs de session. Je sais, je sais, il est aussi possible d'utiliser la méthode des cookies dans ce cas là, mais ceux qui comprennent de quoi je parle savent que chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients. C'est donc bien ça le problème... essayer de comprendre leur algorithme et réussir ainsi à bien se positionner. Et enfin, la phrase qui à elle seule résume tout ! No comment... Bien.. Une fois qu'on a éliminé tous les sites en "infraction" avec ces guidelines, combien va-t-il rester de sites dans l'index ? 1% ? 2% ? Bon admettons qu'il en reste environ 5% Ca ferait passer l'index de Google d'environ 4 milliards de pages à seulement 200 millions publiées par des bienheureux s'obstinant à laisser "Untitled document" dans tous leurs titres de pages et concevant ces mêmes pages selon les standards esthétiques de 1995. Bien joué Google Ces webmasters chanceux sont-ils pour autant complètement à l'abri de sanctions ? Non bien sûr. Il suffit de regarder également les "guidelines" d'un autre moteur. Allez, au hasard Yahoo... http://help.yahoo.com/help/us/ysearch/basics/basics-18.html - Chaque page doit comporter des balises Meta. - l'apparence esthétique compte "Good web design in general " à noter que ces deux points sont plutôt en contradiction avec les guidelines de Google. Ce que Yahoo ne veut pas : - "using methods to artificially inflate search engine ranking " Là on rejoint complètement "l'interdiction" de Google vis à vis de toute tentative d'optimisation - "Misuse of competitor names" Un bon point à Yahoo, contrairement à Google qui ne considère pas la contrefaçon comme une pratique de référencement déloyale. - "Pages that use excessive pop-ups, interfering with user navigation " - "Pages that seem deceptive, fraudulent or provide a poor user experience " Deux conseils de bon sens à mon avis mais qui vont certainement contribuer à éradiquer la majorité des rescapés du blacklisting chez Google Notamment la question des pop-ups qui touche évidemment plus les sites persos, surtout ceux en hébergement gratuit. Bref, si l'on considère les guidelines des moteurs comme des règles, ce sont tous les webmasters et référenceurs qui auraient des raisons d'être inquiets. -
[fermé]Netbooster déréférencé par Google !
Stephane a répondu à Kimberlyclarko - Forum : Techniques de Référencement
Une société dont les actes ne sont pas motivés avant tout par l'intérêt en termes de "business" est une société condamnée à terme. Google est au contraire une société prospère. En tant que référenceur, et bien que ne travaillant pas exclusivement pour des sites commerciaux, je plaide coupable sur ce point là. Il est vrai que les résultats commerciaux (liens sponsorisés inclus) occupent aujourd'hui une trop large part des résultats de Google. C'est vrai mais les référenceurs ne font que profiter d'une situation qu'il n'ont pas créé. Le racine du problème est l'algorithme de Google lui-même. Si Google voulait rétablir un peu l'équilibre entre information et produits dans ses résultats de recherche, il lui suffirait de regarder ce qui se fait ailleurs, par exemple du côté de Teoma qui me semble avoir réussi un assez bon mix entre résultats commerciaux et non-commerciaux. -
Pour la plupart des sites que je surveille, je constate au contraire de Dan une progression sensible. Ma page Seraphim Proudleduck passe de 12 à 756 backlinks affichés par exemple.
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Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Je ne le pense pas, et de toute façon ce n'est pas le but à mon avis. Le collectif est plus une coordination ponctuelle dont l'unique objectif est d'ouvrir le débat et d'amorcer une reflexion commune. Les associations ne fusionnent pas dans ce regroupement, heureusement car on en aura besoin plus tard... Le collectif est un regroupement de personnes qui proviennent effectivement pour le moment à la fois de Sema7 et de l'Ipea. Cele ne correspond pas à une "décision" de ces associations (je parle pour Sema7, en tous cas). Le collectif est né avant tout d'un consensus fort (visible lors du dernier dîner Sema7) sur la nécessité d'ouvrir le débat avec les moteurs. -
Personnellement, j'essaierais d'abord quelque chose de ce genre là dans le .htaccess Options +FollowSymlinks RewriteEngine on RewriteCond %{HTTP_HOST} www.arts-fantastiques.com RewriteRule (.*) http://www.photographe-professionnel.fr/ [L,R=301] Attention, je n'ai pas testé... Si j'écris des bétises, que notre Guru en Rewriting Apache (Dan) n'hésite pas à corriger
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L'analyseur d'entêtes http du Hub montre qu'il s'agit d'une redirection 302. C'est effectivement quelque chose qui peut provoquer la disparition d'une url dans Google. Il n'est pas certain que le webmaster de la toplist l'ait fait intentionnellement. Le mieux, à ce stade serait de le contacter pour lui signaler le problème, et éventuellement demander à être désinscrit. S'il ne réagit pas, il y a deux options (non exclusives l'une de l'autre) : - l'option légale. Il s'agit d'un acte de plagiat, et éventuellement de contrefaçon da marque. C'est donc un délit. Un simple constat d'huissier permet d'en établir la preuve. - l'option technique. il y a de nombreux moyens de contrer cette forme de parasitisme, mais tous demandent un minimum de connaissances soit en programmation, soit en paramétrage serveur. Si PHP est trop complexe ou que ton serveur ne le permet pas, il y a aussi le SSI, un petit langage de scripts tout simples pouvant être intégrés dans des pages Html hébergées sur un serveur Apache.
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Bonjour, MSN utilise à l'heure actuelle un index fourni par Yahoo (tout comme Altavista, Alltheweb, HotBot, etc.) Pour passer dans l'index de ce moteur, il faut donc s'inscrire d'abord auprès de Yahoo. Mais dans ton cas, ce ne sera pas nécessaire puisque Yahoo a commencé à indexer ton site. Il va juste falloir attendre que les urls indexées par Yahoo soient transmises au cluster spécifique utilisé par MSN. Ca peut prendre du temps toutefois... MSN France dispose aussi d'une petite sélection de sites web français dont les résultats sont présentés au-dessus des résultats moteur. Pour y être présent, il faut faire une démarche d'inscription spécifique : http://search2.msn.fr/suggestions/fr/default.asp
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J'y ai bien accès aussi. Mais dépêchez-vous de tester, cette version va sûrement disparaître très rapidement, comme la précédente. Pour le moment, ce que l'on peut observer à propos de cette version Alpha : - La pertinence est bien au rendez-vous. L'algo actuel est déjà prometteur. Ce nouveau moteur sera probablement le mieux placé à son lancement pour concurrencer sérieusement Google. - Le nombre de résultats affichés est assez impressionnant. Tellement impressionant que j'ai quand même quelques doutes sur la crédibilité de ces chiffres... - Le dédoublonnage (gestion du duplicate content) est quasiment inexistant à ce stade. Mais je suis conscient qu'il ne faut pas trop en demander concernant une version Alpha...
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Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
L'affichage volontaire de l'acceptation d'une charte peut déjà constituer une sorte d'obligation pour la société qui ferait ce choix, sans forcément rentrer dans une logique normative de type ISO. Les clients voient ce genre de choses et en tiennent compte. Pour exemple, mon appartenance personnelle à Sema7 conduit parfois certains clients à me demander que la charte de Sema7 soit intégrée aux contrats (ce qui ne pose aucun problème concernant ma société). L'objectif reste avant tout la protection des clients. Au delà de la charte, les procédures de règlements des litiges vont aussi dans ce sens. -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
En fait, c'est un point qui n'a jamais été discuté au sein de Sema7. D'ailleurs, à ce jour, il n'y a toujours pas de liste de sociétés adhérant à la charte sur le site. Ca me semble de toute façon très compliqué à mettre en oeuvre puisque Sema7 fonctionne selon un principe d'adhésion individuelle. Personnellement, je serais plutôt favorable à une démarche volontaire du genre de ce que proposait Jeff : fournir un logo que les sociétés peuvent afficher ou non sur leur site ou leur documentation commerciale. -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Je vais donner partiellement raison à Cendrillon. Une catégorie de référenceurs est condamnée à disparaître, ce sont les prestataires techniques, autrement dit les SEO pour reprendre un terme à la mode. Et j'inclus dans cette catégorie les webagencies et les SSII croyant pouvoir internaliser le référencement et l'industrialiser. Ca ne se produira pas immédiatement, et les SEO ont probablement encore de beaux jours devant eux. Le métier de référenceur (peu importe que ce mot ait perdu son sens initial, de toute façon ce ne sont pas les référenceurs qui ont inventé le mot mais deux annuaires français à l'origine) n'est aujourd'hui ni un métier technique ni un métier marketing. Le reférencement est un métier complètement hybride, et c'est ce qui rend son industrialisation impossible. Je le sais pour avoir essayé à une époque (à mon corps défendant et sous la pression d'actionnaires bornés). Certains d'entre vous se souviennent peut-être de la percée spectaculaire de Fenomen/Snarx, et de sa chute tout aussi spectaculaire... Aujourd'hui Netbooster fait face aux mêmes contradictions, et je leur souhaite sincèrement de ne pas commettre les erreurs que nous avons commises. Concernant la fonction des codes de déontologie. Oui, ceux-ci sont principalement à destination des clients. Oui, ils ont aussi une fonction "interne" et l'image de la machine à exclure est juste... Quand je parlais d'évolution vers de nouveaux standards pour la profession, j'avoue que c'est aussi à ça que je pense. Certaines "clarifications" seront rendues nécessaires un jour. Et s'il faut couper quelques branches mortes pour que l'arbre se renforce... -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Je suis d'accord, mais on est en train de parler de la déontologie des référenceurs, pas de celle des webagencies. Remarque, je ne jette pas forcément la pierre aux webagencies (contrairement à Olivier Andrieu). Je reconnais que la plupart du temps, ils ne sont pas payés pour ça. Il est donc logique qu'ils ne s'en préoccupent pas. Le marché de la création de sites web est beaucoup plus concurrentiel que celui du référencement, et la pression sur les prix n'est pas la même. Le rôle de conseil des référenceurs est une évidence pour moi. Pour revenir au sujet, une fois n'est pas coutume, je vais accorder un point à l'IPEA. Dans leur charte figure l'obligation de conseil (même si la définition qu'ils en donnent est quasi-insultante pour les référenceurs). Celle-ci ne figure malheureusement pas dans la charte de SEMA7, c'est un manque ! Bref, je reviens à ma question. Que peuvent faire les référenceurs ? -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Bien... je repose alors ma question. Que proposes-tu auquel les référenceurs n'auraient pas encore pensé, Cendrillon ? -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Soyons un peu constructifs. Quels seraient les manques de ces deux documents selon toi, Cendrillon ? Le problème ? Lequel ? Je ne suis pas de ceux qui pensent que notre profession ne connait aucun problème (même si sur un plan strictement économique, tout va très bien faut le reconnaître), mais de quel problème parles-tu exactement ? 100% d'accord avec toi... sur la dernière partie. Les sites web qui marchent le mieux ne sont pas pris en charge par des agences généralistes, mais par plusieurs spécialistes pouvant agir dès le début en réelle synergie. Je suis peut-être pessimiste, mais je pense que ça n'arrivera jamais... Pourtant, c'est pas faute d'essayer. On ne baisse pas les bras pour autant ! -
Débat : les OR et les référenceurs
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
Le manque de cohésion entre les outils de recherche sur ce qu'ils considèrent ou non comme du spam est une question qu'ils auront à règler entre eux, et les référenceurs n'ont pas à y prendre part. Tout comme la question de la déontologie des référenceurs ne concerne que les référenceurs et leurs clients. Je me souviens de l'époque où le moteur Excite conseillait aux webmasters dans ses guidelines d'employer du texte invisible (blanc sur fond blanc) alors que cette pratique conduisait à une pénalité sur Altavista (ce qui n'est toujours pas le cas chez Google). Les référenceurs dans leur grande majorité n'ont évidemment pas appliqué les directives d'Excite parce que le positionnement de nos clients dans Altavista nous importait plus à ce moment là. Mais je connais de nombreux webmasters qui se sont fait avoir à cause de ce discours discordant des moteurs... Bref, ce qui guide les référenceurs c'est toujours l'intérêt du client, pas les guidelines de tel ou tel moteur. Bien sûr, nous préfererions que les moteurs parlent d'une voix unie, ce qui simplifierait les choses. Et je suis persuadé que les moteurs auraient intérêt également à ce que les référenceurs puissent parler d'une voix unie eux aussi. Ce n'est pas ce que je constate ! Le seul outil de recherche qui dénigre actuellement les référenceurs est Google. Ma réponse ne concerne donc que Google. La meilleure attitude à avoir est de démontrer à nos clients que le discours tenu par Google sur l'inutilité du métier de référenceur est faux et partial. Le métier de référenceur n'a jamais été aussi utile qu'aujourd'hui, et nos clients ne se laissent pas abuser par un discours facilement démenti par les faits. Je remarque que du côté des référenceurs (français, puisque c'est le marché que je connais le mieux), il n'y jamais eu de dénigrement des offres de liens sponsorisés, bien au contraire puisque nous prônons tous la complémentarité du référencement organique et du positionnement publicitaire auprès de nos clients. Ce que nous pouvons apporter aux outils de recherche, et leur apportons déjà. - Du chiffre d'affaires. Je me souviens de l'année 2001 où tous les annuaires français désireux de s'orienter dans la voie des inscriptions payantes nous ont contacté afin que nous les aidions à la promotion de leurs nouvelles offres. Les référenceurs français ont dans leur grande majorité encouragé cette initiative en acceptant de signer avec eux des partenariats. Nomade, Lycos, Looksmart et Yahoo ont successivement signé des partenariats avec des référenceurs français qui avaient peu à y gagner si ce n'est la pérennité d'un métier complémentaire au notre sur ce marché. L'acceptation de ces offres en France par les clients a été à l'époque très largement conditionnée au rôle qu'ont joué certains référenceurs. Il me semble que la première année le CA de Nomade et Lycos sur ces offres était à plus de 50% généré par les référenceurs. Malheureusement, cela n'a pas suffi à pérenniser l'activité de certains de nos partenaires... Nomade et Looksmart sont morts aujourd'hui (on regrette moins Looksmart pour être francs...) - Une rapidité de traitement accrue et une amélioration de la qualité d'indexation. Concernant les annuaires, ma petite équipe travaille toujours sur la base de documents de formation interne des documentalistes de deux grands annuaires français ce qui réduit d'autant chez eux la charge de travail consécutive aux inscriptions reçues de la part des référenceurs. Concernant les moteurs, c'est tellement évident que ça ne vaut même pas la peine d'en parler... La pertinence de certains moteurs n'aurait rien à voir avec ce qu'elle est aujourd'hui si les référenceurs n'existaient pas... Les moteurs se livreraient alors une course à la grosseur sur le nombre de pages blanches indéxées. - Une complémentarité et une synergie en termes de développement de nos marchés respectifs. Le marché du référencement et celui des liens sponsorisés sont en très fort développement d'un côté comme de l'autre, et cela se sait. L'effort d'éducation du marché prodigué par les uns bénéficie toujours aux autres. Ce n'est pas un hasard si lorsqu'on recherche "référencement" sur Google France une pub pour les Adwords apparaît aussitôt. Google n'est qu'un exemple, les autres le font aussi et je ne critique pas ça. Nos marchés en forte croissance d'un côté comme de l'autre s'épaulent mutuellement parce que complémentaires. Tenter de casser cette complémentarité serait prendre le risque de nous faire régresser tous. Les référenceurs n'en prendront évidemment pas l'initiative. Je m'abstiens de répondre pour le moment, mais je réflechis évidemment à la question -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
L'un n'empêche pas l'autre. La médecine est aussi une science après tout La question des pages satellites est un détail. Si l'on suit à la lettre les guidelines de Google, toute action d'optimisation (in-page ou off-page) est interdite de toute façon. Echanger des liens est déjà "illicite" d'après Google. "Illicite" mais malgré tout autorisé par leur algo. Presque chaque page de résultats de ce moteur en est la preuve. Je ne pense pas que les référenceurs aient à se positionner vis à vis de tel ou tel moteur dans le cadre de leur reflexion sur la déontologie. La déontologie du référencement concerne avant tout les relations référenceurs / clients. La question des relations référenceurs / outils de recherche est un autre débat. -
Référencement professionnel - code de déontologie
Stephane a répondu à Cariboo - Forum : Techniques de Référencement
J'espère que ma réponse ne va pas paraître trop hors-sujet... En fait, j'avais envie de répondre en même temps à un autre de tes posts ici, concernant le "métier de référenceur". Mais tant pis, je vais faire d'une pierre deux coups avec un seul post. Ce que je vais dire va probablement heurter la conception traditionnelle du référencement, très répandue parmi les webmasters. Pour moi le référencement est une science, et non pas un "ensemble de techniques..." J'entends d'ici les ricanements que va susciter l'emploi du mot "science"... Mais lisez quand même la suite. Au mieux, les acteurs les plus conscients voient dans le référencement une sorte de praxéologie, une élaboration méthodologique à partir des savoirs de la pratique, validés par l'expérience. Mais le référencement n'est pas que ça. Et comme le disait David Degrelle dans la discussion précédente, il est important de comprendre la nature du "métier de référenceur" avant de se lancer dans tout débat sur des notions telles que la déontologie, l'éthique, etc. Je pense que depuis fin 99, le référencement (et les référenceurs, qu'ils le veuillent ou non) a franchi une étape importante. Depuis 5 ans, le référencement peut légitimement être considéré comme un métier à part entière, et même comme une science. Le référencement est une science de la communication, née des rapports quasi-autistiques et de la cacophonie qui existaient auparavant dans les relations socio-économiques entre les éditeurs de sites web d'une part et les internautes de l'autre. La seule interface entre ces deux parties, en l'absence de référenceurs conscients de la nature de leur métier, était l'approche "technique". C'est l'approche des moteurs de recherche. Elle repose sur la croyance que toute difficulté de communication peut se résoudre par la programmation de logiciels toujours plus performants, par une décomposition du langage à son plus petit dénominateur commun et des algorithmes censés améliorer la "pertinence". L'approche technique est nécessaire, et l'utilité de certains progrès techniques dans le domaine du référencement est indéniable. Mais cela ne suffit pas... Les parties concernées sont des humains, et la solution à leurs problèmes de communication ne viendra pas de l'adoption du langage binaire comme esperanto universel. Autre problème potentiel, les "techniciens" ne se contentent généralement pas d'apporter des solutions pratiques à des problèmes concrets. La technique a malheureusement toujours tendance à vouloir s'ériger en idéologie. Parmi les différents slogans de Google, celui qui m'effraie le plus est "Democracy on the web works". L'autre approche, un peu plus récente, est celle des référenceurs. La finalité de notre action étant de réussir à faire se rejoindre une offre de produits formulée de manière particulière, et une demande spontanée des internautes formulée dans un autre langage, notre coeur de métier est de rechercher la "Pierre de Rosette" adéquate à chaque situation. Notre métier consiste donc à introduire de l'intelligence (humaine et pas robotique cette fois), intelligence au sens de faculté de compréhension, dans les rapports socio-économiques nés de la recherche d'information sur le web. A travers le débat sur la déontologie des référenceurs (je préfère d'ailleurs parler de "déontologie du référencement"), se cache en fait le classique arbitrage entre la finalité et les moyens. La finalité du référenceur est simple à comprendre : procurer un avantage compétitif à son client, éditeur d'un site web. Quoique, je remarque que certains de mes "confrères" confondent encore parfois la finalité et les moyens... (ceux qui continuent à proposer des "garanties de positionnement" par exemple) Au service d'une finalité tout ce qu'il y a de plus honorable comme celle-ci, tous les moyens sont en théorie bons, à partir du moment où ils sont efficaces. En théorie seulement... parce qu'en matière de référencement, il faut aussi tenir compte de l'écologie de l'action, c'est à dire les interactions et rétroactions avec un environnement composé d'autres acteurs (les concurrents, les moteurs de recherche, les internautes, les autres référenceurs...) Chacun de ces autres acteurs dissimulant éventuellement ses finalités propres sous des idéologies et mythologies différentes les unes des autres. C'est cette écologie de l'action qui donne une importance clé à la stratégie. La stratégie étant le fait d'adopter une conduite générale pouvant modifier la séquence d'actions prévues en fonction du déroulement de l'action elle-même. La stratégie est la conscience des interactions entre les différents acteurs et de leurs conséquences. Elaborer une stratégie de référencement suppose d'acquérir le maximum d'informations possibles sur les actions des autres parties, d'être capable d'utiliser les aléas qui arrivent, et de prendre des risques calculés... La vraie valeur-ajoutée d'un référenceur est là, pas dans le fait de se conformer à des codes étriqués. Il faut comprendre les tentatives de l'IPEA et de SEMA7 comme une démarche visant simplement à permettre un jour l'émergence de standards dans la profession. C'est une démarche de recommandation (qui ressemble un peu au rôle de recommandation du W3C vis à vis des développeurs). Dans tous les cas, il ne s'agit aucunement d'imposer une unification des méthodologies de référencement. Les points communs entre les deux chartes ne m'étonnent pas. Les différences non plus, puisqu'elles ont été rédigées à quatre ans d'intervalle. Cela ne t'étonnera pas que je me reconnaisse davantage dans la charte de SEMA7. Je la trouve plus claire, plus générale, plus orientée vers la seule finalité qui importe (l'intérêt du client). Mais je me reconnais dans l'ensemble assez bien aussi dans celle de l'IPEA. Il n'y a pas de contradiction majeure à mon avis. Le seul défaut de la charte de l'IPEA c'est de s'embourber dans une tentative de définition du spamdexing. Définir le spamdexing ne servira à rien, et de toute façon c'est une tâche impossible. Qui plus est, cette tentative de définition du spamdexing reste focalisée sur le seul plan technique... Aujourd'hui, je pense que l'annexe sur le spamdexing était une erreur qui nous a conduit tout droit à laisser les moteurs de recherche s'immiscer dans les débats sur la déontologie professionnelle des référenceurs. On en paye le prix aujourd'hui, car ça ne choque plus personne (ou presque) de lire dans les "guidelines" de Google France des phrases telles que "Personne (...) ne peut améliorer le classement de votre site Web dans les résultats de recherche", ce qui revient à traiter tous les référenceurs de charlatans... Est-ce qu'on se mêle, nous, de définir le code professionnel des moteurs de recherche ? de dire aux clients de Google de demander l'avis préalable d'Overture avant d'acheter des Adwords ? D'inciter les clients d'Adwords à demander un "remboursement intégral" de leur campagne "pour quelque raison que ce soit" ? Pour finir, je dirais que, autant la question de la déontologie m'intéresse et j'estime l'ouverture d'un débat à ce sujet nécessaire, autant la question de l'"éthique" ne m'intéresse absolument pas et n'est en tous cas pas matière à débat. L'éthique c'est un code de valeurs personnelles, propres à chacun. Il m'arrive fréquemment pour des raisons éthiques de refuser tel ou tel projet. Je n'ai pas à me justifier pour ça, ni besoin d'étaler mes choix éthiques dans ma documentation commerciale, et encore moins besoin d'en discuter avec des confrères. Sans vouloir polémiquer avec qui que ce soit, mon opinion sur le "référencement éthique" est qu'il s'agit tout simplement de "marketing éthique"... -
Dans google depuis + 1 mois et rien
Stephane a répondu à wallaby2004 - Forum : Techniques de Référencement
Ce n'est pas réellement ça le problème des frames (pour Google en tous cas). Google suit les urls des balises <frame> Donc d'ici quelques temps, les internautes pourront accéder à ton site via des urls telles que http://www.nublesa.cl/top.htm ou http://www.nublesa.cl/home.htm ça casse un peu le design et la navigabilité, non ? D'où l'utilité de reconstituer les frames. C'est ce que je fais sur mon site Qualitrafic (en signature) si tu veux regarder un exemple. Ce n'est pas une question de temps, uniquement une question de liens entrants. Un nouveau site peut très bien passer en 12h dans l'index de Google à condition d'avoir suffisamment de liens sur des pages crawlées tous les jours par Googlebot. -
Dans google depuis + 1 mois et rien
Stephane a répondu à wallaby2004 - Forum : Techniques de Référencement
Le Flash et les frames ne sont pas génants dans ce cas là. Enfin les frames seront génantes plus tard si tu ne met pas rapidement en place des scripts de reconstitution de frames... La seule raison qui explique la non-indexation est la quasi absence de liens entrants vers le site. Pour le moment, le site est connu de Google mais non indexé. 2 ou 3 liens de plus devraient suffire pour que Googlebot commence à s'intéresser à ce site.