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thick

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Messages postés par thick

  1. Matt Cutts va même plus loin puisque ça préfèrence ira vers deux NDDs différents :

    Matt Cutts Said,

    December 10, 2007 @ 10:52 am

    Keonda, great question. If you have sites with say French and German versions for a business, my preferences would be:

    1. ccTLDS such as example.fr or example.de

    2. After than, subdomains such as fr.example.com or de.example.com.

    3. If thats not possible, Id use subdirectories such as example.com/fr/ or example.com/de/ .

  2. Un truc qui m'a sorti de ce genre de situation est de reprendre à 0 le contenu des pages, tout en l'augmentant.

    Je ne te garantie pas le résultat, mais c'est une option. Tu seras vite si ça marche puisque j'ai un effet de réaction quasiment après le crawl.

    Mais franchement, les éléments communs ne sont pas vraiment des facteurs bloquants du même qu'ils restent dans la limite du raisonnable. Après, si t'as collé un plan du site dans chaque menu, c'est un peu abused. Je préconise une structure qui ressemble de loin à un arbre généalogique, impliquant un maximum de verticalité, mais peu d'horizontalité.

  3. salut,

    le blacklistage ou très souvent un "filtrage" peut ne s'appliquer effectivement qu'à une page, un répertoire, et donc pas forcément le site tout entier.

    Ah, tu m'apprends quelque chose de nouveau !

    Les phénomènes dont tu parles s'apparente à une désindexation, mais pas du tout à un blacklistage.

    En cas de blacklistage, le site est purement et simplement dégagé de l'index. Il ne renvoie plus aucun résultat en utilisant n'importe quel opérateur.

    Il ne faut pas confondre désindexation et blacklistage. Le premier concept peut tout à fait concerner seulement des parties d'un site, tandis que le deuxième concerne la totalité du site.

  4. mais une immense majorité de gens ne l'ont pas et ne l'auront jamais ce qui limite l'usage de ces données par GG

    Crois moi, il s'en fiche royalement ! Il y a bien suffisamment d'utilisateurs qui ont la Toolbar, et les données recueillies sont tellement précieuses que GG ne va pas passer outre la possibilité de s'en servir pour évaluer la pertinence. Bien entendu, il n'y a pas que ça, mais c'est un morceau qui prend une place de plus en plus importante.

    Quand aux éléments communs, si tu les prends en compte comme la plupart des outils qui permettent d'évaluer le dup content, tu vas avoir des résultats qui dépasse le raisonnable. Dans ce cas, il est commun d'être au-delà de 80 % de dup. Il faut prendre en compte uniquement les éléments du corpus, dégageant les éléments communs que tu cites.

    Ton problème ne peut pas venir de là.

  5. Finalement, tout ce qui est susceptible de générer du contenu unique, non ?

    Ce n'est pas du côté de la génération de contenu, mais vraiment par rapport à l'interaction entre le site et son visiteur. Grâce à la Toolbar, Google voit tout ce que fait l'internaute. Si le visiteur place le site dans ses favoris (sur l'ordinateur ou en ligne), c'est un vote social extrêmement important, s'il rédige un commentaire c'est aussi un vote social, s'il décide de publier l'article sur un Digg-Like c'est toujours du social, etc.

    L'autre possibilité est d'attacher des attributs sociaux tels qu'un forum, espace de partage contenu, etc. Ce n'est pas tant le contenu en lui-même qui importe (même si ça compte bien entendu), mais surtout sur le fait que le site est embarqué dans ce foutu Web 2.0 que Google a décidé de valoriser du point de vue de son algo.

    C'est tout à fait logique, car la popularité d'un site liée au PageRank/nombre de backlinks est devenue faussée, voire totalement dévaluée. Du coup, l'internaute est au centre de la stratégie Google qui collecte tout un tas d'informations à son sujet, l'utilisant ensuite pour juger de la pertinence d'un site. En moyenne, Google collecte environ 600 informations personnelles via la Toolbar.

  6. @ El-Cherubin : j'ai testé le social pour booster un site, mais par pour déplomber des pages. Ton test sera précieux. M'oublie pas quand tu auras les résultats.

    Par rapport à la fréquence de mise à jour, c'est sous-entendu quotidien. Google aime voir que le site est en interaction permanente avec l'utilisateur.

    @ jnj : je ne comprends plus trop. Tu mets en titre du thread qu'il s'agit de duplicate content et maintenant tu me dis qu'il n'y a pas de contenu répété (duplicate content en anglais).

    Concernant les doses de social, ça sortirait vraiment du topic, mais pour t'expliquer en deux mots, j'affirme que Google est très friand d'attributs sociaux. Pour les blogs, il s'agit évidemment des commentaires, mais pour une boutique cela peut-être les avis de consommateurs. Pour un site "standard", il peut s'agir d'un espace de partage de contenu (texte, audio, video).

  7. C'est clair que l'ancienneté du site joue vraiment pour se permettre des optimisations plus ou moins poussées.

    Cependant, il est possible de remédier à ce type de pénalité (surtout Sandbox), notamment en jouant sur une fréquence de mise à jour élevée et une interaction visiteur poussée.

    El-Cherubin connaît mon propos à ce sujet, mais j'ai plusieurs exemples de sites qui ont passé le stade des pénalités innérentes aux jeunes sites grâce à leurs attributs sociaux et la fréquence de mise à jour. Par contre, un site standard qui repose sur contenu + backlinks est propice à attirer les foudres des filtres Google.

  8. Autre piste : si c'est tout le réseau qui a morflé, il s'agit peut-être d'une pénalité infligée sur le webmaster. En tout cas, oui, j'ai vu des webmasters dont tout le réseau était dévalué, sans doute à cause de suroptimisation ou même lorsque le webmaster est carrément taggé spammeur.

    Quand au dup content, je n'ai rien noté de particulier, mais je n'ai pas non plus regardé ce paramètre plus que ça depuis un bon bout de temps. Le point de rupture était déjà bien haut (30 - 40 %), donc ça ne laisse plus beaucoup de latitude pour tenter de refourguer plusieurs fois la même came.

  9. Disons que je préfère largement un transfert de compétences à une formation. Au niveau statistiques, les chances que tu tombes sur une remarquable formation par rapport aux chances de récolter le savoir d'un spécialiste choisi me semble évidentes.

    Pour être efficace et gagner du temps, je persiste à dire que de filer le train d'un expert est une solution plus viable.

    Après, je serais ravi que tu fasses les deux démarches et que tu nous racontes ton ressenti.

  10. En revanche, je confirme mon incompréhension face au conseil

    Arf, j'abandonne !

    Je parle pour mon cas personnel car j'ai aidé de nombreuses personnes dans leur démarche pour comprendre le référencement. Ils m'ont bien trouvé et ont réussi à ce que je donne tous les conseils qu'ils souhaitent.

    Suis le conseil de Wefficient et prends une formation. :mad2:

  11. Voilà ! De la même manière que si je voulais me spécialiser dans les serveurs, c'est vers Dan que je me dirigerais pour lui soutirer sa substantifique moelle. Les meilleurs sont souvent les plus sympas et humbles lorsqu'il s'agit de partager le savoir.

    En tout cas, plutôt que suivre une formation, je préfère suivre un spécialiste.

  12. Je l'ai dit plus haut. Tu choisis le meilleur et tu lui colles aux fesses...

    Justement, tu réponds toi-même à la question. Si les spécialistes sont encore rares, c'est qu'il y a des places à prendre.

    Et surtout va plutôt regarder outre-Atlantique pour voir ce qui s'y passe.

    Mais bon, tout cela dépend si tu as besoin de générer un revenu immédiat ou que tu peux te permettre de zoner pour apprendre.

  13. Tu as certainement raison car ce sont peut-être mes études qui me procurent la faculté d'apprentissage et d'analyse, même si elles n'avaient rien à voir avec le Web.

    L'important est de posséder la faculté d'apprendre que je prends peut-être pour argent comptant, alors que ce n'est pas possible pour tout le monde.

  14. des connaissances scientifiques en psychologie cognitive, physiologie, méthodes d'évaluation...

    Tu sais aussi bien que moi que ces ressources sont largement disponibles en ligne. Quelle formation va faire le tour de tous les éléments que tu cites ? C'est au-delà d'un doctorat que j'entrevoie une telle formation !!!

    La limite d'instruction est surtout celle de la langue car c'est en anglais que les ressources abondantes en quantité et qualité. Je ne dis pas qu'il y a rien en français, mais c'est vraiment limité.

    Puis, faut pas non plus laisser penser qu'il y a nécessité d'atteindre cette fameuse perfection dont parle Prelude. La vaste majorité des sites va largement profiter des bénéfices d'une optimisation ergonomique par un "spécialiste". Il y a plusieurs niveaux d'interprétation de l'expertise, mais je persiste à dire qu'en mettant le client devant le fait accompli d'un rapport type Crazyegg, les solutions coulent de source en appliquant les méthodes éprouvées. Il faut de l'instruction sur le domaine, mais c'est un leurre de prétendre qu'il faille maîtriser à fond les domaines que tu cites.

    Si j'ai réussi à transformer avec succès des pages afin de les rendre plus performantes, je ne vois pas pourquoi d'autres ne peuvent pas le faire sans passer par cette foutue formation sur laquelle vous insistez.

  15. En effet, j'avoue que j'ai profité d'un hasard de circonstances qui ont facilité ma percée mais je demeure le seul mangeur de cigogne du TOP 10 à avoir effectué ce virage. Les autres n'en demeurent pas moins talentueux, mais ce rôle de consultant ne sied pas à tout le monde.

    Chacun peut se propulser consultant du jour au lendemain, mais sur la ligne d'arrivée il y a peu d'élus.

    Je ne sais pas si c'est toujours d'actualité, mais il y avait eu un gros mouvements parmi les cadres des grandes entreprises afin d'embrayer sur des carrières parallèles en consulting. La plupart sont repartis à leur jobs sans continuer l'expérience.

    Donc oui, nous nous rejoignons sur la finalité du métier qui demande de l'expérience et des compétences, mais il semble que nous divergeons sur la légitimité de la manière d'y arriver.

  16. Tu peux nous en dire plus ?

    Pas vraiment comme ça !

    Disons simplement que ça fait 3 ans que je bûche le sujet et que je conseille des clients aussi sur l'ergonomie web.

    Je m'en sers bien entendu sur certains de mes sites.

    C'est dur d'attirer le chaland, donc je préfère optimiser les chances de conversion.

    Pour convaincre de la viabilité de tes connaissances auprès d'un client. Le plus dur sera le premier car ensuite c'est vraiment l'effet boule de neige.

    Tu prépares une petite présentation persuasive et ton plus joli discours. Ensuite, faut que ton travail soit efficace afin d'améliorer la performance de ton client.

    Pour la présentation, tu peux d'inspirer de http://www.slideshare.net/search/slideshow...p;commit=search

    Quoi que je ferais plutôt la même recherche en anglais si tu maîtrises la langue.

    Rien qu'en collant crazyegg.com sur un site, tu verras déjà les plus gros points faibles à améliorer.

    Finalement, j'ai plutôt l'impression que tu dois te convaincre que tu peux y arriver plutôt qu'autre chose.

  17. Finalement, le meilleur diplôme, c'est le client qui le décerne par le bouche à oreille par exemple :thumbsup:

    Ben oui !

    C'est de la gnognotte ces histoires de diplômes, et pourtant j'en ai un gros à coller sur mon CV.

    Conseiller à quelqu'un de passer par un job de graphiste dans une agence Web ou de faire une formation n'est pas un conseil viable.

    Dire que c'est tout et n'importe quoi n'est pas vrai car je répète que la vérité est sur l'écran quand aux résultats et comme dit Geogres c'est le bouche à oreille qui fera ta meilleure pub.

    Un diplôme ne va rien t'amener directement sauf d'avoir perdu du temps à bosser pour rien tandis que tu peux renter dans le vif du sujet dès à présent.

    Par exemple, je préfère coller aux fesses de Fred Cavazza sur le Web plutôt que d'entreprendre une quelconque formation d'ergonomie Web trouvée à la CCI.

    Et me dire que le référencement et l'ergonomie Web ne peuvent pas s'assimiler est aussi une hérésie. Je n'ai pas le stratus de Fred sur ce plan, mais croyez-moi que je maîtrise tout à fait les tenants et les aboutissements de l'ergonomie incitative. Les deux domaines sont comparables sur bien des niveaux.

    Puisque tout le monde peut faire tout et n'importe quoi, pourquoi payer quelqu'un de pro ?!

    Ah parce qu'avoir un diplôme en poche te met tout de suite au-dessus de la mélée ? Faut rester sérieux une seconde.

  18. Sais pas, mais ça va plutôt bien pour moi et pourtant je n'ai jamais bossé dans une agence de référencement.

    Qu'est ce qui a démarré ma "réputation" ?

    - Le concours "mangeur de cigogne" où j'ai terminé 3ème

    - Mon site 7-dragons.com

    - Mes résultats sur Google

    - Les clients contents qui m'en recommandent d'autres, et ainsi de suite. Même une des plus grandes agences de réf française a loué mes services de consultant pour auditer leurs grands comptes.

    L'expérience ? Bof ! Après le concours, tout a explosé sur mon carnet de commandes. Pourtant, je n'avais que 3 mois (la durée du concours) d'expérience dans le métier.

    Par contre, je ne pense pas que tu puisses trouver une seule personne qui n'a pas été ravi de bosser avec moi.

  19. Idem, il convient mieux de prendre un script boutique dédié et ensuite de coller un WP ou DC à côté.

    Même le module ecommerce du puissant CMS Joomla est un piège à développement.

  20. Je plussoie Homer aka SpeedAirMan.

    Nul besoin de formation spécifique pour te déclarer "expert" ou "consultant" ou la matière.

    Il suffit juste d'avoir le discours convaincant et les résultats pour prouver ce que tu avances.

    Crois moi, personne n'est jamais venu me demander mon diplôme en référencement, mais plutôt ce que j'étais capable de faire au sein des résultats de recherche Google.

    "La vérité est sur l'écran"

  21. Il vaut mieux faire une version qui fonctionne pour tous les type="handeld", sans distinction de machine, selon moi.

    Le type iMode passe partout, mais c'est super rikiki. Sauf que pour convenir à tous, il faut évidemment se soumettre aux plus mal lotis des écrans qui restent minuscules pour surfer confortablement.

    Pour revenir sur l'iPhone, Apple change de stratégie. Ils vont calquer le modèle sur ceux des consoles de jeux en abandonnant la volonté de prendre de l'argent aux opérateurs pour favoriser la propagation du produit. Tous les jours, nous apprenons que de nouveaux accords sont signés entre Apple et les opérateurs du monde entier.

    L'iPhone est parti pour inonder la planète !

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